Les stagiaires de Samantha Bailly
Temps pour lire le roman : quatre jours
Lieu de lecture du roman : bus, métro, lit, canapé
Nombre de pages du roman : 438 pages
Note : 4,5/5
Genre du roman : Roman
Maison d’édition : Livre de Poche
Un grand merci au Livre de Poche pour ce livre
Critique
Les stagiaires est le premier tome de la trilogie de Samantha Bailly. Je connaissais déjà cette auteure et j’avais hâte de découvrir Les Stagiaires.
Ce roman nous amène au sein d’une entreprise que les lecteurs-trices de Nos âmes Jumelles connaissent déjà car il s’agit de Pyxis une entreprise qui édite des mangas et propose des jeux vidéos.
Pyxis emploie de nombreux stagiaires et ceux-ci sont forcés de se serrer les coudes pour survivre à l’ambiance parfois difficile de la boîte. Il se crée donc de forts liens entre les personnages. On suit plus particulièrement Arthur, un jeune homme qui vient de finir ses études de commerce, qui est parisien et dont les parents sont très fortunés, il voit Pyxis comme un moment de détente. A son opposé, Ophélie est venue de province pour rejoindre la capitale et faire son stage en communication. Elle est déterminée à se débrouiller par elle-même même si elle en bave beaucoup avec la précarité étudiante notamment à Paris.
Ce roman alterne donc entre moments détentes et moments sérieux. On y découvre la vie étudiante à Paris et les premiers pas en entreprise (pas toujours évident !).
Conclusion :
Je me suis très vite attachée aux personnages notamment Ophélie qui me ressemble un peu. J’ai beaucoup ri car il y a beaucoup d’humour notamment dans les conversations instantanées qu’entretiennent les stagiaires entre eux. Même si j’ai trouvé quelques moments un peu clichés, l’écriture et le style m’ont vraiment plu. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant et j’ai hâte de remettre le couvert en me lançant dans le tome deux.
Rejoignez vite la troupe des stagiaires pour découvrir Ophélie, Arthur, Alix, Vincent, Hugues et Enissa !
Merci ça me donne bien envie de le lire du coup et ça confirme ce que les gens m avait dit lis le